ils l'ont pensé...
1987 |
Des trous dans la couche Dès le début des années 1980, les Etats occidentaux commencent à s’inquiéter de la qualité de leur environnement. Conscients du nécessaire contrecoup du développement industriel qui a rythmé les deux derniers siècles, ceux-ci se réunissent afin d’envisager les possibilités d’enrayer le délitement progressif de la couche d’ozone. En effet, les scientifiques sont formels, la couche d’ozone, protection naturelle de la planète Terre contre les rayons du soleil, laisse apparaître de nombreux trous au-dessus de l’Antarctique. Réunis au Québec, 24 pays, ainsi que la Communauté économique européenne s’accordent et signent un protocole visant à empêcher l’utilisation de chlorofluorocarbones, de halons, de bromure de méthyle ainsi que d’autres substances responsables de ces dégâts écologiques. Ainsi, le 16 septembre 1987 est signé le protocole dit de Montréal qui va commencer de sensibiliser ouvertement les institutions aux dangers écologiques à venir.'(évèné.fr) |